La Tribune de Genève parle du Pachamama Connexion Festival ! Elle met notamment en lumière la programmation 2021, avec les l’artistes KT-Gorique et Cali P ainsi que nos actions en faveur d’un monde plus solidaire et éco-responsable. Enfin bref, une belle surprise ! Voici le contre-rendu de l’article :
Pachamama Connexion aime l’écologie et le hip-hop
KT Gorique et Cali P courent en tête de ce très jeune festival, 2e édition les 23 et 24 juillet en plein air.
Abidjan, Martigny, le monde. Là où elle est née, là où elle a grandi depuis ses 11 ans. Et la suite, une carrière dans le rap, format d’ambition internationale pour l’une des plumes les plus originales de langue française. KT Gorique, figure centrale du rap helvétique, a sorti «Akwaba» en 2020, a animé comme un beau diable, comme elle pouvait, la pause forcée par le Covid – voir ses excellents «Remèdes». Juste avant, KT Gorique, avec son look coloré, ses coiffes de fusée, surtout son flow puissant portant des rimes aussi fines que tranchantes, et quel sens de l’ironie (on adore), apparaissait en 2019, figurez-vous, au Hallenstadion de Zurich, l’un des plus gros spots de concert en Suisse, assurant haut la main une première partie avant la star américaine Nicki Minaj.
Solidarités brésiliennes
Pachamama Connexion, en 2020 déjà, avait tenté, et réussi, une première édition sur la pelouse de Marignac. Défi complexe, au vu des mesures sanitaires drastiques qui prévalaient l’an passé. L’été 2021 sonne-t-il enfin le retour à la normale pour les festivals de petit gabarit? Oui et non, puisqu’il faudra, ici encore, se munir d’un certificat Covid, obligatoire dès 16 ans, attestant d’un test, d’une guérison ou d’une vaccination, mais surtout dûment estampillé par l’administration. Passé le portique fatidique, cependant, comme annoncé par les organisateurs, c’est sans masque, sans restrictions. Pas de prix fixe pour l’entrée, on met ce qu’on veut, ce qu’on peut, ce qui, en soi, reste une proposition idéale pour un public qu’on devine des plus jeunes.
Aux manettes du Pachamama, comme son nom l’indique – en référence à la divinité andine de la terre mère – , c’est tout un monde de gens investis dans l’écologie, la préservation de l’environnement. Également dans divers projets associatifs de solidarité, au Brésil principalement, cette année en faveur d’un groupe de hip-hop travaillant dans les favelas de São Paulo.
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